Avec130 000 pièces en circulation depuis 2005, la pièce de deux euros de San Marin vaut plus que ce que l’on pense: environ 120 euros par pièce. La cotation de cette pièce a une valeur assez élevez, tout d’abord pour sa localité. Saint-Marin est située au cœur de l’Italie, ce n’est pas un pays mais une principauté. Le gouvernement a soumis au Parlement un projet de décret d'avance portant sur un total de 1,3 milliard d'euros de crédits de paiement, destinés notamment à financer des surcoûts liés à la présidence française de l'Union européenne et aux interventions militaires à l'étranger. Conformément aux règles budgétaires, l'intégralité des avances demandées sera compensée par des annulations de crédits équivalentes. Surcroît de dépense Le document du ministère du Budget, examiné mardi par la commission des Finances de l'Assemblée nationale, demande l'ouverture de 23,55 millions d'autorisations d'engagements et de crédits de paiement sur le programme "action de la France en Europe et dans le monde" pour "couvrir un surcroît de dépenses lié, notamment, à l'exercice de la présidence française de l'Union européenne". Le budget 2008 avait doté ce programme du ministère des Affaires étrangères de près de 1,5 milliard d'euros. Les crédits de la présidence française de l'UE s'élevaient quant à eux à 190 millions d'euros d'autorisations d'engagements, inscrits dans la mission budgétaire "direction de l'action du gouvernement" du Premier ministre. Bercy juge également nécessaire l'avance de quelque 260 millions d'euros pour compléter l'enveloppe initiale de 460 millions attribuée aux "opérations extérieures" du ministère de la Défense, c'est-à-dire les interventions de l'armée française à l'étranger. Une sous-budgétisation chronique des "Opex" dénoncée par le rapporteur général de la commission des Finances, le député UMP Gilles Carrez, dans son avis sur le projet de décret d'avance. Prime de Noël Pour financer le versement anticipé d'une "prime de Noël" majorée de 67,5 euros 220 euros au total aux bénéficiaires de minima sociaux, Eric Woerth demande quelque 379 millions d'euros, ainsi que 50 autres millions pour "l'effort en faveur de l'hébergement d'urgence et des personnes en grande précarité" décidé en septembre par le Premier ministre, François Fillon. Le ministre du Budget demande aussi plus de 250 millions d'euros de crédits supplémentaires pour financer des "contrats aidés" dans le secteur non marchand, principalement sous forme d'aides à des associations qui ne seraient pas en mesure de payer leurs salariés sans la subvention de l'Etat.
Unpays participant peut être autorisé à émettre jusqu'à deux pièces de 2 euros, ainsi qu'une troisième, à condition qu’il s’agisse d’une émission commune commémorant un événement important à l’échelle européenne. Ces pièces ont cours légal dans toute la zone euro, et peuvent être utilisées comme n'importe quelle
N° 1-2008 N° 3-2008 Éditorial Et si on laissait faire le marché ? mai 2008 Claude Lucas de Leyssac University of Paris I Panthéon-Sorbonne France 5 contributions 24189 visites The Attali Report An Italian point of view mai 2008 Alberto Heimler Scuola Nazionale dell’Amministrazione 3 contributions 14206 visites Interview Marie-Dominique Hagelsteen CE Pourquoi la négociabilité ? mai 2008 Marie-Dominique Hagelsteen French State Council Paris France 6 contributions 44691 visites Laurence Idot Université Paris II Panthéon-Assas - Valérie Michel-Amsellem Cour de cassation - Robert Saint-Esteben ... mai 2008 Laurence Idot University Paris-Panthéon-Assas France 121 contributions 287462 visites , Valérie Michel-Amsellem Paris Court of Appeal France 39 contributions 164634 visites , Robert Saint-Esteben Bredin Prat Paris France 6 contributions 27969 visites … Dossier Présidence française de l’Union européenne Regards croisés mai 2008 Jacques Barrot 2 contributions 24140 visites , Michel Roseau Orrick, Herrington & Sutcliffe Paris France 3 contributions 16639 visites , Pierre Moscovici Court of Auditors Paris France 1 contribution 5487 visites Vers une action de groupe... à la française mai 2008 Pierre Kirch Paul Hastings Brussels Belgique 14 contributions 51331 visites , Emmanuel Combe Autorité de la concurrence Paris France 46 contributions 123356 visites , Luc Chatel Automotive Platform PFA Paris France 3 contributions 21317 visites … Droit et Économie Competition and regulatory policy for multi-sided platforms with applications to the web economy mai 2008 David Evans Competition Policy International États-Unis 3 contributions 10908 visites Competition policy in the energy sector Squaring the circle ? mai 2008 David Spector Paris School of Economics France 56 contributions 222992 visites Is merger assessment different in two-sided markets ? Lessons from Travelport/Worldspan mai 2008 Francesco Rosati RBB Economics Paris France 23 contributions 64076 visites Two-sided markets Yin and Yang, a review of recent UK mergers mai 2008 Benoît Durand RBB Economics Brussels Belgique 19 contributions 33990 visites Articles Musique en ligne, interopérabilité et avantage concurrentiel mai 2008 Cédric Manara Google Paris France 12 contributions 38365 visites The EU White Paper for damages actions A first appraisal mai 2008 Assimakis Komninos White & Case Brussels Belgique 28 contributions 60079 visites La procédure de transaction communautaire mai 2008 Eric Cuziat Autorité de la concurrence Paris France 5 contributions 13323 visites , María Luisa Tierno Centella Spanish Competition Authority Paraguay 7 contributions 12882 visites La non contestation des griefs en droit français de la concurrence Bilan et perspectives d’un outil ... mai 2008 Bruno Lasserre French State Council Paris France 47 contributions 103090 visites Enquêtes de concurrence Le sort des documents saisis ou copiés mai 2008 Frédéric Puel Fidal Paris France 15 contributions 28994 visites , Laurent François-Martin Fidal Lille France 9 contributions 25662 visites Pratiques Conseil de la concurrence Bonnes pratiques procédurales mai 2008 Fabien Zivy European Court of Justice Luxembourg France 75 contributions 288871 visites EU French 2008 Presidency Between industrial strategy and competition policy... mai 2008 Jean-Paul Tran Thiet JPTT-Vitale Paris France 176 contributions 371058 visites , Rainier D’Haussonville Sanef Group Issy-les-Moulineaux France 1 contribution 4974 visites International Allemagne Nouvelle réforme de la loi relative aux restrictions de concurrence mai 2008 Frank Röhling Freshfields Bruckhaus Deringer Berlin Allemagne 31 contributions 120404 visites , Bertrand Guerin Freshfields Bruckhaus Deringer Berlin Allemagne 17 contributions 70762 visites UK OFT payments to whistle-blowers - A step too far ? mai 2008 Jo Rickards Mishcon de Reya London Royaume-Uni 2 contributions 10330 visites , Darren Isaacs GQ Employment Law London Royaume-Uni 2 contributions 10330 visites , Nicole Kar Linklaters London Royaume-Uni 15 contributions 16198 visites … Livres Enforcement of prohibition of cartels, - I. ATANASIU eds. mai 2008 Constance Monnier-Schlumberger University of Paris I Panthéon-Sorbonne France 13 contributions 38302 visites Is there a tension between the goals of protecting economic freedom and the promotion consumer welfare in the ... mai 2008 Ioannis Lianos University College London London Royaume-Uni 28 contributions 92416 visites L’État schizo mai 2008 Stéphane Rodrigues University of Paris I Panthéon-Sorbonne France 414 contributions 519948 visites Le juge et le raisonnement économique en droit de la concurrence mai 2008 Laetitia Driguez University of Paris I Panthéon-Sorbonne France 10 contributions 66482 visites Oligopoles, collusion tacite et droit communautaire de la concurrence mai 2008 Jérôme Gstalter General Court of the European Union Luxembourg France 52 contributions 147507 visites Revues Revues Janv. - Avril 2008 mai 2008 Alain Ronzano L’actu-concurrence Paris France 4340 contributions 1017601 visites , Christelle Adjémian GRDF Paris France 73 contributions 208662 visites Conférences Liberté d’établissement et de prestation de services le cas des jeux d’argent Séminaire Nasse - Paris, 4 février ... mai 2008 Anne Perrot French General Inspectorate of Finance Paris France 42 contributions 43836 visites , Didier Theophile Darrois Villey Maillot Brochier Paris France 23 contributions 90531 visites , Christian Gollier European Association of Environmental and Resource Economists France 1 contribution 162 visites Procédures négociées en droits communautaire et interne de la concurrence - Transaction communautaire et engagements devant ... mai 2008 Laurence Idot University Paris-Panthéon-Assas France 121 contributions 287462 visites , Bruno Lasserre French State Council Paris France 47 contributions 103090 visites , Jacques-Philippe Gunther Latham & Watkins Paris France 18 contributions 49886 visites … Tousles pays de l'Union européenne utilisant l'euro ont émis le 1er janvier 2009 une pièce commémorative de 2 € pour commémorer le 10e anniversaire de l'Union économique et monétaire. Dessin commémoratif : 10e anniversaire de l’Union économique et monétaire.

Publié le 01/07/2008 à 2321 AP L'éditorial de Paul-Henri du Limbert du 1er juillet. Pouvait-on imaginer pire contexte que celui qui prévaut en ce 1er juillet 2008, premier jour de la présidence française de l'Union ? Des phénomènes inquiétants parcourent l'économie mondiale, les prévisions oscillent entre le pessimisme et le catastrophisme, l'avenir est un gigantesque point d'interrogation. Et l'Europe est en panne. Ce n'est pas simplement une panne institutionnelle, née du non irlandais, c'est une panne d'idéal. Il y a vingt ans, l'Europe allait de soi ; aujourd'hui, elle indiffère, voire elle exaspère. Elle exaspère les europhobes, ce qui n'est pas nouveau, mais le pire est qu'elle indiffère les europhiles, comme s'ils avaient tiré un trait sur le bel idéal d' volonté de Nicolas Sarkozy de privilégier ces six prochains mois l'Europe du concret» est louable. On sait combien la réputation d'une Europe lointaine et indifférente au sort de ses habitants a pesé dans les non français, néerlandais et irlandais. Mais ce constat mérite cependant d'être nuancé. Car, souvent, l'Europe est concrète à mauvais escient, quand il s'agit de rédiger des kilomètres de règlements tatillons et des hectomètres de directives contraignantes. Et elle est abstraite, voire inexistante, lorsqu'il s'agit des enjeux fondamentaux, au premier chef sa place et son rôle dans la mondialisation. Parce que Nicolas Sarkozy a osé parler de préférence européenne», Bruxelles lui a fait un mauvais procès. Et pourtant, les grandes nations qui ont choisi l'économie de marché, en premier lieu les États-Unis, savent être protectionnistes quand il le faut. Ce n'est pas de l'idéologie, c'est du pragmatisme. Comme il est pragmatique de demander à la BCE de se préoccuper de la croissance et pas seulement de l' l'Europe n'est pas une grande nation. C'est un conglomérat de nations aux histoires, aux visions et aux intérêts divergents. Elle se contente d'être, comme les Britanniques le souhaitaient, une vaste zone de libre-échange. Le drame de la Constitution européenne, puis du minitraité», c'est que ces textes proposaient enfin à l'Europe les moyens de se doter d'une volonté politique et que les peuples les ont compris à l'envers. Les règles du jeu à vingt-sept, la majorité qualifiée, la pondération des voix, c'est fondamental, mais c'est tellement labyrinthique qu'à Paris, à Amsterdam ou à Dublin on y a vu une raison de plus de désespérer de l' Sarkozy devra prouver jusqu'au mois de décembre qu'il existe encore quelques raisons d'y croire. Le pacte sur l'immigration et l'asile» fait partie de ces projets censés montrer aux Européens que le continent peut relever des enjeux majeurs de société. L'avenir de la politique agricole commune, l'Europe de la défense sont aussi des dossiers sur lesquels les Vingt-Sept peuvent montrer qu'ils ont une capacité d'agir. Si les Européens prennent conscience que l'Europe, par ses réalisations concrètes, peut nourrir un grand dessein, peut-être prêteront-ils une oreille plus attentive aux questions institutionnelles ? C'est en tout cas l'enjeu de la présidence française prouver qu'après le non irlandais l'Europe n'est pas à ranger au rayon des souvenirs du XXe siècle.» DOSSIER SPÉCIAL - La présidence française de l'UE

annéesde restaurer le français dans cet État. Enfin, récemment, lors de l'élaboration de la pseudo future Constitution européenne, il a fait la sourde oreille sur les problèmes linguistiques que l'élargissement à 25 États allaient soulever. En cela, il n'a répondu à aucune association de défense du français et n'a prévu, dans Texte de la QUESTION M. Jean-Marc Roubaud attire l'attention de M. le ministre des affaires étrangères et européennes sur les conclusions du sommet mondial sur la sécurité alimentaire qui s'est tenu récemment à Rome au siège de la FAO destiné à donner une nouvelle impulsion à la lutte contre la faim et la malnutrition qui touche 1,2 milliard d'êtres humains à travers le monde. Aujourd'hui, plus de 17 000 enfants vont mourir de faim, un toutes les cinq secondes, six millions par an. D'après la FAO, pour venir à bout de ce problème, le monde devrait produire 70 % d'aliments en plus d'ici 2050. En 2008, les dirigeants du G20 se sont engagés à rassembler 20 milliards de dollars pour lutter contre la faim dans le monde. À l'heure actuelle, on attend toujours que ces promesses soient mises en application. Le manque d'implication de la communauté internationale a bien évidement des conséquences. Le programme alimentaire mondial PAM a vu son budget réduit de 3 milliards de dollars, faute de financement. Les questions alimentaires ne touchent pas uniquement les pays pauvres. Aux États-unis, un rapport gouvernemental a montré que près de 15 % des foyers américains, soit 17 millions d'entre eux, ont eu du mal à remplir leurs assiettes au cours de l'année 2008. Cela fait trois millions de plus qu'en 2007. En conséquence, il lui demande de lui faire connaître son sentiment à ce sujet. Texte de la REPONSE La crise alimentaire de 2008 a révélé les conséquences d'un désintérêt pour l'agriculture, marqué par la baisse de l'aide au développement dans ce secteur, le recul des politiques agricoles et une confiance excessive dans les marchés mondiaux. Elle a rappelé au monde que la sécurité alimentaire est un impératif pour la stabilité politique, même si les conflits peuvent avoir bien d'autres causes. Cette crise n'était pas seulement une conséquence de l'insuffisance de l'offre sur les marchés agricoles mondiaux. Elle était également liée aux dérèglements de ces marchés. Parce qu'elle frappe d'abord les plus vulnérables, la récession mondiale aggrave le tableau de la pauvreté et de la faim dans le monde un milliard de personnes, soit 15 % de la population mondiale, ne mange pas à sa faim actuellement. En appelant à un partenariat mondial pour l'agriculture et la sécurité alimentaire, le 3 juin 2008, à Rome, le Président de la République a plaidé pour plus de cohérence dans les décisions internationales ayant des impacts sur la sécurité alimentaire mondiale et, particulièrement, celle des pays en développement ; la mobilisation de toute l'expertise mondiale sur les défis que pose la nécessité de nourrir 9 milliards d'humains en 2050 et d'éradiquer la faim ; plus d'investissements dans l'agriculture, la sécurité alimentaire et la lutte contre la malnutrition des pays en développement. La mobilisation internationale, en réponse à la crise alimentaire de 2008 et à la crise financière de 2009, a été importante. La communauté internationale a été remarquablement réactive, à travers de nouveaux instruments, des mécanismes de décision rapide, la réallocation des crédits, l'instruction de nouveaux projets. Sous la présidence française de l'Union européenne, une facilité européenne additionnelle de réponse rapide à la crise, dotée de 1 milliard d'euros, a ainsi été adoptée et mise en oeuvre. Les engagements pris à L'Aquila en juillet 2009 pour 3 ans portaient sur plus de 20 milliards de dollars. La France y a pris toute sa part, puisqu'elle a prévu de consacrer plus de 1,5 milliard d'euros à la sécurité alimentaire sur trois ans. Ces engagements concernent notamment l'action de l'Agence française de développement AFD, qui finance à hauteur de plus de 323 millions d'euros, en 2009, des projets dans le domaine de la sécurité alimentaire. Au niveau multilatéral, la France a augmenté sa contribution au FIDA 35 millions d'euros pour le triennium 2010-2012 contre 23 millions d'euros lors de la reconstitution précédente. Elle a soutenu la réforme de la FAO, organisation dont le mandat est essentiel et qui doit guider la mobilisation internationale. Elle a soutenu résolument la transformation du comité pour la sécurité alimentaire pour qu'il devienne la plate-forme de dialogue politique dont les acteurs mondiaux ont besoin. Enfin, notre pays apporte son appui aux travaux de l'équipe spéciale de haut niveau sur la sécurité alimentaire HLTF créée par M. Ban Ki Moon début 2008 et qui réunit 23 agences multilatérales. D'une manière générale, la part de l'aide consacrée à l'agriculture et à la sécurité alimentaire augmente et l'application des principes de Paris et d'Accra sur l'efficacité de l'aide dans le secteur agricole et alimentaire progresse. L'augmentation des enveloppes ne fera cependant pas tout. L'alignement de l'aide sur des politiques nationales négociées entre les acteurs locaux est essentiel. Dès lors que la crise alimentaire est une des dimensions de la crise économique mondiale, et que les solutions ne relèvent pas seulement de progrès sur l'offre agricole mais aussi sur la croissance, la création d'emplois et la distribution des revenus, l'action de la France pour résoudre la crise financière, dans le cadre du G 20, est également un élément de réponse aux défis de la sécurité alimentaire.
Économie Espagne : une faute de frappe à 10 milliards d'euros. Madrid a corrigé jeudi sa prévision de dette publique pour 2014, celle-ci devant atteindre 98,9 % du PIB et non 99,8 % comme
Publié le 30/06/2008 à 1929 Une nouvelle pièce de 2€ va entrer en circulation ce 1er juillet pour marquer le premier jour de la présidence française de l'Union européenne. Chose rare, c'est un designer qui a été choisi pour dessiner la face de la nouvelle pièce qui sera tirée à 20 milions d'exemplaires à Pessac Gironde le très courtisé Philippe Starck. Le designer français le plus connu au monde a dû tenir compte des contraintes légales et techniques propores aux pièces courantes commémoratives de 2€ présence obligatoire et non modifiable de la couronne avec ses étoiles, inscription littérale du thème retenu, mention obligatoire ’RF’’, présence des deux différents. S’appuyant sur les symboles forts de l’Europe, il en a fait un objet aux lignes épurées, moderne et emblématique d’une présidence importante pour le pays. La face nationale illustre la présidence par une métaphore - douze étoiles, en couronne sur la bordure de la pièce, symbolisent les nations ; - Le chiffre 8 » de l’année 2008 couvre une partie de la zone des étoiles et fait écho au semestre de présidence française ; - la mention verticale Présidence Française Union Européenne » s’émancipe des articles pour ne conserver que l’essence du message. Le revers traditionnel est celui de la pièce de 2 € classique, avec la carte de l’Europe et la mention 2 € ». La Monnaie de Paris a réalisé vendredi 27 juin la première frappe de la nouvelle pièce de 2 euros, en présence de la ministre de l'Economie Christine Lagarde et du designer. Pour aller plus loin, le site de la Monnaie de Paris.
\n2 euros présidence francaise union européenne 2008 faute de frappe
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2 euros présidence francaise union européenne 2008 faute de frappe