traductionfaire entendre sa voix dans le dictionnaire Français - Italien de Reverso, voir aussi 'faire griller',faire rĂŽtir',faire une queue de poisson Ă  qn',homme Ă  tout faire', conjugaison, expressions idiomatiques Marie a luttĂ© pendant quatre ans contre ses troubles du comportement alimentaire. Dans cette lettre ouverte, elle a voulu retranscrire tout ce qu'elle aurait eu besoin d'entendre lorsqu'elle Ă©tait malade. Car non, l'anorexie et la boulimie ne sont pas des "caprices de petite fille qui refuse de manger". Jusqu'Ă  ce que je tombe moi-mĂȘme malade, je pensais que les troubles du comportement alimentaire n'arrivaient qu'aux autres. Puis, j'ai pensĂ© que je ne pourrais jamais guĂ©rir. L'une de mes amies est dĂ©cĂ©dĂ©e Ă  20 ans suite Ă  des complications liĂ©es Ă  cette maladie. J'ai vu des patientes se faire rĂ©-hospitalisĂ©es de nombreuses fois et lu de nombreux tĂ©moignages Ă  propos de personnes qui n'ont jamais pu guĂ©rir. A ce moment-lĂ , j'aurais prĂ©fĂ©rĂ© qu'on me crie "Oui, c'est possible, tu peux t'en sortir !". Maintenant, c'est Ă  mon tour de crier cette phrase aux malades. Je veux leur faire comprendre qu'elles/ils ne sont pas fous, comme je pensais l'ĂȘtre avant de rencontrer d'autres patientes. Cette lettre ouverte est Ă©galement Ă  destination de tous ceux qui voient l'anorexie comme un "caprice de petite fille qui refuse de manger." "S'il-te-plaĂźt, prends soin de toi et de ton entourage" On ne rĂ©alise pas immĂ©diatement qu'on est malade lorsqu'on commence Ă  plonger dans l'anorexie. On a parfois besoin de beaucoup de temps et de l'aide de notre entourage. Durant plusieurs longs mois, je me suis prise la tĂȘte avec mes parents. Ils insistaient, ils me disaient que j'avais un problĂšme et que j'avais besoin d'ĂȘtre aidĂ©e. Je rĂ©pĂ©tais que j'avais le contrĂŽle. J'y croyais vraiment. Je voulais perdre du poids et je le faisais. Un jour, mes parents m'ont proposĂ© un deal "Si tu peux faire tout ce que tu veux, prouve-nous que tu peux reprendre du poids et on te laissera tranquille." Cela n'a pas marchĂ© comme je pensais. En rĂ©alitĂ©, je n'avais en rĂ©alitĂ© aucun contrĂŽle sur mon corps. C'Ă©tait plutĂŽt ce contrĂŽle qui me possĂ©dait. Si tu vois quelqu'un s'enfoncer dans les troubles du comportement alimentaire, s'il-te-plaĂźt, aide-le Ă  ouvrir les yeux. Les mĂ©decins ont dit Ă  mes parents que j'avais eu de la chance qu'ils l'aient remarquĂ© assez tĂŽt. Plus tĂŽt on commence Ă  prendre en charge la maladie, plus on a de chances de s'en sortir. Évidemment, il est impossible de commencer Ă  se battre contre la maladie en Ă©tant persuadĂ© d'ĂȘtre et d'avoir tout sous contrĂŽle. "Le problĂšme n'est pas ton poids" Moins je mangeais, plus j'Ă©tais dĂ©goĂ»tĂ©e par la nourriture et par son odeur. Plus je perdais de poids, plus j'avais besoin de perdre de poids. Ce n'Ă©tait jamais assez. Je me sentais toujours trop grosse. Lorsque j'atteignais mon objectif de poids, je m'en fixais immĂ©diatement un nouveau, toujours plus bas. Je pinçais mon corps, Ă  la recherche de la moindre trace de gras. Cela ne s'arrĂȘtait plus il est impossible d'atteindre un objectif qui Ă©volue en permanence. Se figurer ce paradoxe est trĂšs compliquĂ© lorsqu'on est malade. Mais une fois que tu l'as compris, tu peux enfin rĂ©aliser que le problĂšme n'est pas ton poids mais ta maladie mentale. "Ne me dis pas que je n'"avais qu'Ă  manger"" Je sais que certaines personnes en sont persuadĂ©es. Ça m'horripile. S'"il suffisait de manger", je suppose qu'on serait nombreuses et nombreux Ă  l'avoir fait avant d'ĂȘtre ou avant de mourir. Il n'y a pas que la nourriture qui est en jeu, il y a aussi la haine de soi. J'avais l'impression d'avoir constamment deux voix dans ma tĂȘte. Une m'affirmait que je devais stopper cette maladie, l'autre m'y enfonçait encore plus. J'avais froid tout le temps, j'avais mal au ventre, j'ai arrĂȘtĂ© d'avoir mes rĂšgles, j'ai perdu beaucoup de cheveux, j'avais des crampes et la tĂȘte qui tourne. Mais le pire se passait dans ma tĂȘte. Quand je sentais que mon corps Ă©tait faible, une partie de moi me disait "C'est bien, ça veut dire que tu le pousses Ă  bout". Lorsque je me forçais Ă  manger, une voix m'encourageait parfois "C'est bien tu te rapproches de la guĂ©rison". Une autre me rĂ©pĂ©tait "Tu es dĂ©goĂ»tante, tu devrais avoir honte, tu t'Ă©loignes de ton objectif. Ton objectif est de perdre du poids !" Je recherchais un moyen d'Ă©liminer les calories en mĂȘme temps que je les ingurgitais. Je pensais que j'Ă©tais folle en me battant contre moi-mĂȘme, avec ces deux voix incompatibles dans ma tĂȘte. Il m'arrivait de ne plus savoir contre quoi et pour quoi je me battais. J'avais le sentiment que si mon corps avait assez d'Ă©nergie pour ĂȘtre en bonne santĂ©, cela rendrait mon esprit encore plus malade, malade de honte. Comme si mon corps et mon esprit Ă©taient deux entitĂ©s complĂštement distinctes et qu'elles ne pourraient jamais se sentir bien en mĂȘme temps. J'avais honte de mon corps. Si je gagnais du poids, je me sentais imprĂ©sentable. AprĂšs avoir rĂ©ussi Ă  manger, ne serait-ce qu'un peu, je ne pouvais penser Ă  rien d'autre que ce que je venais d'avaler, comment je devais le dĂ©penser et Ă  ces sentiments de dĂ©goĂ»t et de haine envers moi-mĂȘme. Cela prenait toute la place dans mon esprit. Quand tu es en colĂšre contre une personne, tu as la possibilitĂ© de la confronter pour extĂ©rioriser, ou du moins de limiter le contact. Le problĂšme quand tu te hais est que tu ne peux pas t'Ă©chapper de toi-mĂȘme. Je dĂ©testais mon corps et j'Ă©tais bloquĂ©e Ă  l'intĂ©rieur de celui-ci. "Ce n'est pas toi qui as le contrĂŽle" La maladie me poussait Ă  "garder le contrĂŽle sur mon corps", mais en rĂ©alitĂ© je n'en avais aucun. Lorsque je gagnais un peu de poids, mĂȘme si ce n'Ă©taient que quelques grammes, mes ongles s'enfonçaient dans ma peau et mes jambes s'agitaient frĂ©nĂ©tiquement, comme si elles voulaient s'Ă©loigner de mon corps. Je ne pouvais pas penser Ă  autre chose qu'Ă  mon poids, comment perdre des calories, les excuses que j'allais utiliser pour sauter les repas, le poids qui s'afficherait sur la balance la prochaine fois que je monterai dessus. Je faisais des cauchemars Ă  propos de la nourriture. Le matin, le chiffre affichĂ© sur la balance dĂ©terminait l'ensemble de ma journĂ©e. Exemples parmi tant d'autres je ne m'asseyais dans le couloir avec les autres Ă©lĂšves car rester debout me permettait de brĂ»ler plus de calories. Je refusais de sortir avec mes car je savais qu'Ă  un moment de la journĂ©e, ils allaient vouloir manger. La maladie ne faisait pas partie de ma vie, la maladie Ă©tait ma vie. Si tu as vraiment le contrĂŽle, tu devrais ĂȘtre capable de vivre sans tout calculer par rapport Ă  ton poids. "L'anorexie te ment" Quand des personnes me touchaient, mĂȘme pour quelques secondes, je me demandais, inquiĂšte "Est-ce qu'ils ont senti mon gras ?". J'avais peur qu'on me regarde, j'avais honte. Je pensais qu'ils examinaient Ă  quel point j'Ă©tais grosse. Maintenant je comprends que c'Ă©tait le contrĂŽle ils me regardaient parce que j'Ă©tais anormalement maigre. "L'hĂŽpital craint mais peut aussi te sauver" J'ai Ă©tĂ© hospitalisĂ©e contre mon grĂ© dans un centre spĂ©cialisĂ© dans le traitement des troubles de conduite alimentaires Je me suis enfuie au bout d'un mois. Je ne pouvais ni voir ni parler avec ma famille ou mes Les ont pris mon tĂ©lĂ©phone. Je pouvais Ă©crire des lettres, mais pas en recevoir. Je ne pouvais pas jouer de la musique, je ne pouvais pas sortir. Ils m'ont mĂȘme confisquĂ© mes livres scolaires. Tout Ă©tait liĂ© au contrat de poids dĂ©terminĂ© par le mĂ©decin. Les me posaient Ă©normĂ©ment de questions. J'avais l'impression qu'en plus de me changer physiquement, ils cherchaient Ă  me changer psychologiquement. Ils voulaient me donner des mĂ©dicaments pour m'aider Ă  me dĂ©tendre. Je refusais, pensant qu'ils voulaient me shooter. C'Ă©tait la pire pĂ©riode de ma vie. Cependant, certaines personnes, hospitalisĂ©es au mĂȘme endroit que moi, affirment que sans cet endroit, elles ne seraient probablement plus en vie. Quant Ă  moi, j'avais si peur d'y retourner que cela m'a motivĂ©e pour guĂ©rir. "Tu n'es pas Pour mes proches qui ne souffraient pas de troubles de comportement alimentaire, il Ă©tait extrĂȘmement compliquĂ© d'arriver Ă  me comprendre. A l'hĂŽpital, j'ai vu d'autres malades. J'ai finalement rencontrĂ© des personnes qui me comprenaient. C'Ă©tait la confirmation que je n'Ă©tais ni seule, ni folle. Avec certaines on s'est promis qu'on serait toujours lĂ  les unes pour les autres. "Toujours" est un bien grand mot, mais dans ma tĂȘte je ne voyais pas d'autres possibilitĂ©s. Leur courage me boostait. Parfois, je me disais "Elles essaient trĂšs fort de s'en sortir, je ne devrais pas abandonner. Si je peux m'en sortir, je vais le faire." "Prends la boulimie au sĂ©rieux" Globalement, les gens semblent ĂȘtre plus informĂ©s au sujet de l'anorexie que de la boulimie. Les deux maladies peuvent faire Ă©normĂ©ment de mal. J'ai commencĂ© Ă  faire des crises de boulimie aprĂšs mon hospitalisation. Je pouvais avaler le contenu entier du placard de petit dĂ©jeuner familial, assise sur le sol. Je n'avais mĂȘme pas le temps de finir d'avaler que ma main plongeait de nouveau dans le paquet. Mon esprit me hurlait d'arrĂȘter mais je n'y arrivais pas, jusqu'Ă  avoir mal au ventre ou que quelqu'un entre dans la piĂšce. J'ai commencĂ© Ă  me faire vomir. Je pouvais faire des crises et vomir plusieurs fois par jour. J'avais tellement honte de moi. Je ne voulais pas manger, cela ne me procurait aucun plaisir mais je ne pouvais pas me contrĂŽler. Parfois, alors que j'essayais d'Ă©viter une nouvelle crise, je tournais en rond dans la cuisine, en ouvrant et fermant les placards de nourriture, encore et encore. Les crises de boulimie et les pĂ©riodes de jeĂ»ne s'alternaient. A ce moment lĂ , je pensais que jeĂ»ner Ă©tait l'unique moyen d'ĂȘtre libre. Libre de penser Ă  autre chose que ce Ă  quoi je venais de manger. Libre de penser Ă  autre chose qu'Ă  vomir le plus vite possible, quels que soient le moment et le lieu. Libre du duel "c'est bien – non c'est une honte" qui avait lieu dans ma tĂȘte presque Ă  chaque fois que je mangeais quelque chose. Libre du risque de faire une autre crise de boulimie. Libre de faire autre chose que manger et vomir. C'Ă©tait une fausse libertĂ©, encore ce faux sentiment de contrĂŽle. Ce coup-ci, plus je me restreignais, plus mon corps me demandait de la nourriture, des rĂ©serves, ce qui provoquait des crises de boulimie. Se restreindre n'est pas une solution. La nourriture est essentielle pour survivre. La guĂ©rison est essentielle pour vivre. "Fais attention Ă  tes commentaires" Quand j'ai commencĂ© Ă  reprendre du poids, j'avais l'impression de recevoir un coup Ă  chaque fois qu'une personne me disait "Tu as l'air d'aller mieux !". Pour eux, c'Ă©tait sans doute un compliment mais je le recevais comme une insulte. J'avais l'impression que c'Ă©tait une maniĂšre de me dire que j'avais gagnĂ© du poids et que c'Ă©tait flagrant. Les personnes qui souffrent de trouble du comportement alimentaire n'ont pas nĂ©cessairement l'air maigre, d'autant plus si elles sont boulimiques. Quand anorexique reprend du poids, cela ne veut pas dire qu'elle/il est Le corps n'est pas le seul qui doit guĂ©rir, l'esprit doit aussi le faire et le chemin est long. Lorsque j'essayais de me forcer Ă  manger, la pression Ă©tait encore plus forte lorsque des personnes me regardaient ou commentaient mes progrĂšs. Je me crĂ©ais dĂ©jĂ  suffisamment de pression toute seule, pas besoin d'en rajouter. Entendre "Oh, tu as mis de la sauce dans ta salade aujourd'hui !" rend juste les choses plus difficiles. S'il-te-plaĂźt, ne te moque pas du poids d' autre. N'encourage personne Ă  perdre du poids. Pour moi, les troubles du comportement alimentaire ont commencĂ© aprĂšs un rĂ©gime. Il m'a fallu plusieurs annĂ©es pour en guĂ©rir. "Tu peux en mourir" Je le savais mais je ne voulais pas y croire, jusqu'Ă  ce que mon amie meure. Elle voulait vivre mais elle Ă©tait devenue trop faible. Fais attention, vraiment. "Tu peux t'en sortir, je te le promets" Je me suis battue contre les troubles du comportement alimentaire pendant quatre ans. Je pensais que je pourrais jamais ĂȘtre guĂ©rie. Je me suis enfuie de l'hĂŽpital en pensant que je n'arriverais jamais Ă  atteindre l'objectif de poids dĂ©terminĂ© par le mĂ©decin et que je resterais donc enfermĂ©e pour le restant de mes jours. Je me suis sentie vraiment impuissante et il m'est arrivĂ© de penser Ă  mourir. Je voulais m'affamer Ă  mort pour garder cette fausse impression de contrĂŽle. J'avais l'impression que si je ne le faisais pas, si je gagnais du poids la maladie me tuerait mentalement. Je pensais que je ne comprendrais plus jamais ce que c'est de marcher sans penser aux calories brĂ»lĂ©es ; ou de manger par plaisir et non pas avec honte et Ă  cause des crises de boulimie. J'ai eu des hauts et des bas pendant quatre ans. J'ai cru que cela s'arrĂȘterait jamais. Mais ça c'est arrĂȘtĂ©. S'il-te-plaĂźt, n'abandonne jamais. Cela peut prendre du temps mais je te le promets ça vaut le coup. "N'aie pas peur de guĂ©rir" A un moment, je pensais que si je laissais l'anorexie s'en allait, je n'aurais plus aucun but. L'anorexie a occupĂ© toutes mes pensĂ©es pendant longtemps. Elle me 'guidait' et dirigeait toutes mes journĂ©es. J'avais peur de me sentir vide. Pas "vide" sans nourriture, mais sans sens, sans guide. Je n'arrivais pas Ă  me souvenir de ma vie avant la maladie. Maintenant je peux te l'affirmer il y a Ă©normĂ©ment de moyens de profiter de la vie quand on est en bonne santĂ©. Marie Verger. Lavoix des premiers concernĂ©s, rĂ©sidents d’EHPAD et proches, doit ĂȘtre portĂ©e mais surtout entendue. La souffrance des soignants d’EHPAD, ainsi que celle de leurs cadres Ă©galement.
La startup quĂ©bĂ©coise Lyrebird dĂ©veloppe une technologie qui n’est pas sans poser quelques questions Ă©thiques. Son algorithme d’imitation de voix est en effet capable d’imiter la voix d’une personne, sur la base d’un enregistrement audio d’une minute. Si certaines technologies sont capables de distinguer les voix de diffĂ©rents utilisateurs, peut-on imaginer un outil capable d’analyser, pour l’imiter, la voix d’une personne ? En fait, nul besoin de l’imaginer une telle invention est dĂ©jĂ  en prĂ©paration, et elle a Ă©tĂ© imaginĂ©e par la startup quĂ©bĂ©coise Lyrebird. Son algorithme d’imitation de voix, une interface de programmation applicative ou API, est capable de synthĂ©tiser la voix d’une personne Ă  l’aide d’un enregistrement court. Pour ce faire, l’API n’a besoin que d’une seule minute d’un enregistrement de la voix originale Ă  copier. Sur son site, la sociĂ©tĂ© propose d’écouter plusieurs sons obtenus grĂące Ă  son outil, et force est de constater que les rĂ©sultats sont plutĂŽt convaincants. La technique permet mĂȘme d’ajouter une Ă©motion Ă  la voix ainsi synthĂ©tisĂ©e. Intonations et Ă©motions Ici, par exemple, vous pouvez entendre un extrait dans lequel Lyrebird a synthĂ©tisĂ© les voix de Barack Obama, Donald Trump et Hillary Clinton. Tous trois discutent ainsi, le plus naturellement du monde — ou presque –, de la technologie en question. Sur le compte Soundcloud de Lyrebird, vous pouvez Ă©galement entendre une variĂ©tĂ© d’intonation des voix de l’actuel prĂ©sident des États-Unis, et de son prĂ©dĂ©cesseur. La startup, basĂ©e Ă  Montreal, Ă©voque les nombreux champs d’application dans lequel son intelligence artificielle pourrait trouver un dĂ©bouchĂ© les assistants personnels, la lecture de livres audio, les objets connectĂ©s, la synthĂšse de voix pour des personnes en situation de handicap, la rĂ©alisation de films ou de jeux vidĂ©o. Si cet extrait est a priori tout Ă  fait innocent, il est aisĂ© d’imaginer l’utilisation qui pourrait ĂȘtre faite d’un tel outil ; par exemple pour alimenter le vivier de la dĂ©sinformation, notamment en pĂ©riode Ă©lectorale. D’ailleurs, la sociĂ©tĂ© a anticipĂ© les Ă©ventuelles critiques en consacrant une page de son site aux questions Ă©thiques soulevĂ©es par son invention. Enjeux Ă©thiques Ă©vidents Les enregistrements audio sont souvent utilisĂ©s comme piĂšce Ă  conviction dans de nombreux pays. Notre technologie pose la question de leur manipulation aux fins de contrefaçon ou d’usurpation d’identitĂ©. Cela peut avoir des consĂ©quences dangereuses, par exemple en diplomatie ou pour des actes de fraude, et plus gĂ©nĂ©ralement dans tout autre cas d’usurpation d’identitĂ© », prĂ©cise Lyrebird. Ainsi, l’entreprise canadienne estime justement que son API peut sensibiliser les auditeurs Ă  ne pas considĂ©rer comme une preuve irrĂ©futable un enregistrement audio. En rĂ©vĂ©lant l’existence de cette technologie et en la rendant disponible, nous souhaitons conjurer l’apparition de tels risques. Nous espĂ©rons que le public prendra conscience qu’imiter une voix est devenu possible et que cela doit relativiser Ă  l’avenir la valeur de preuve accordĂ©e aux enregistrements audio. » Notre technologie pose la question de la manipulation des enregistrements audio Comme le souligne The Next Web, de telles dĂ©clarations n’anticipent cependant pas les nombreux dĂ©tournements dont cette technologie pourrait faire l’objet en effet, elle pourrait par exemple ĂȘtre utilisĂ©e pour induire en erreur une personne au tĂ©lĂ©phone, Ă  l’aide de la voix d’une personne qu’il ou elle connaĂźt. Pour le moment, Lyrebird n’a pas encore annoncĂ© la commercialisation de son algorithme. NĂ©anmoins, une phase de bĂȘta-test devrait bientĂŽt avoir lieu Plus d'innovation sur notre espace startup
Oron peut apprendre Ă  moduler sa voix en chantant. (CVS) : faire entendre sa voix Le CVS se rĂ©unit au moins trois fois par an sur ordre du jour Ă©crit envoyĂ© huits jours avant sa tenue, ou Ă  la demande des deux tiers de ses membres ou de la personne gestionnaire. (herokuapp.com) Le conseil de vie sociale Ă  l'EHPAD Olivier Darblade : un lieu pour faire AprĂšs six semaines de confinement destinĂ© Ă  contenir l’intrusion du virus, les visites des familles dans les Ehpad ont repris ce lundi selon un protocole trĂšs prĂ©cis. Article rĂ©servĂ© aux abonnĂ©s Article rĂ©servĂ© aux abonnĂ©s Pour lire la suite de cet article Abonnez-vous Ă  partir de 1,59€/semaine. Sans engagement de durĂ©e. En profiter Vous ĂȘtes dĂ©jĂ  abonnĂ© ou inscrit ? Connectez-vous ArriverĂ  une meilleure reconnaissance du rĂŽle d’aidant, une meilleure prise en compte de leur fonction essentielle. DĂ©sormais, l’alliance pourra faire entendre sa voix Ă  l’Onu, puisqu’elle fait possĂšde aujourd’hui un statut consultatif auprĂšs de l’Ecosoc, le Conseil Ă©conomique et social des Nations Unies. La semaine est passĂ©e vite et a Ă©tĂ© dense de discussions sur les rĂ©seaux sociaux. Je n’ai pas souvenir que des Ă©lections, rĂ©gionales qui plus est, aient dĂ©clenchĂ© tant de dĂ©bats. Le bon cĂŽtĂ© des choses, c’est qu’on mesure que si moins de 50% vont voter, un bien plus grand nombre se sent investi par les histoires de politique. Mais il me semble important, aux vues de ce qu’on peut lire de çi de lĂ , de sortir un peu de l’hystĂ©risation du dĂ©bat et d’en profiter pour regarder un peu quel jeu se joue ici. Une chose qui m’a beaucoup frappĂ© dans les critiques, parfois violentes, faites aux abstentionnistes, c’est l’utilisation systĂ©matique de la culpabilisation. A croire que les votants se sentent vraiment coupables ?! Oui, je ne vais pas expliquer ici, sur ce blog, que tout ce qu’on reproche Ă  l’autre parle de soi
 Ça fait partie des lois de la vie et si vous ne le savez pas encore, essayez de l’appliquer et rapidement, vous en serez convaincus Je me demandais
 Mais de quoi se sentent-ils si coupables ? » Alors, j’ai relevĂ© leurs mots fainĂ©antise, inconscience, immature, fou, dĂ©rangĂ©, infantile, urgence, c’est voter FN ». Nous voilĂ  avec une belle brochette
 On peut donc en dĂ©duire que chez une partie des votants, une prise de conscience que, hors de cette pĂ©riode, ils ne sont pas trĂšs actifs, ni Ɠuvrant, les fait culpabiliser. Ce qui pourrait ĂȘtre une bonne chose. Un bon dĂ©but. Parce qu’effectivement, je remarque que mes amis qui Ɠuvrent tous les jours Ă  construire une humanitĂ© et un pays meilleur sont, pour la plupart, des abstentionnistes. Vous ne me croyez pas ? Faites un tour sur les murs de ces inconscients, vous verrez
 Pourquoi alors ?! Pourquoi s’ils ont une conscience politique, n’utilisent-ils pas cet outils, cette voix » pour s’exprimer. Si l’on en croit certains le seul endroit, moment en France oĂč l’on peut faire entendre sa voix ! » Peut-ĂȘtre, justement, parce que ceux lĂ  utilisent leur voix tous les jours. Dans tous les endroits de leur vie publique et privĂ©e. Tu trouves scandaleux que les enfants se retrouvent et se saoulent jusqu’à ĂȘtre ivres ? Mais ne fais-tu pas pareil ? As-tu arrĂȘtĂ© de boire ou te contentes-tu de dire c’est mal de boire les enfants. » Tu trouves scandaleux que les gens soient exploitĂ©s, mais arrĂȘtes-tu pour autant d’acheter des objets Ă  des prix qui, si on rĂ©flĂ©chit au temps, aux matĂ©riaux, au transport, etc sont si peu chers que ça devrait te faire trembler et prĂ©fĂ©rer mille fois acheter une chose rarement et de bonne facture plutĂŽt que mille que tu jettes sans rien prendre en compte. Un vrai beau Noel devrait ĂȘtre un Noel sans cadeaux. Parce que qui dit cadeaux dit objets, qui dit objets, dit poubelle
 Des montagnes et des montagnes de poubelles ! Tu le vois le tableau ? Tu veux la liste de toutes les choses oĂč tu peux exprimer ta voix ! Tu veux un monde plus Ă©cologique ? Tu manges de la viande ! Tu veux ta voiture Ă  toi, avec ton scooter et tu crierais au meurtre si on te proposait des bains publics ! Tu es passĂ©, au niveau energie, chez Enercoop ?! Tu veux plus de travail ? Tu achĂštes n’importe quoi et ne regarde ni oĂč c’est fait, ni comment, ni les marges hallucinantes qui sont faites sur la qualitĂ© et l’humain et tu donnes ton argent aux pires en dĂ©daignant ceux qui essayent de faire autrement ! Tu veux plus de sĂ©curitĂ© ? Tu achĂštes des armes en plastique Ă  tes enfants, tu regardes des films violents, tu trouves normal de tuer des animaux, tu remplis des montagnes de dĂ©chet chaque semaine qui tuent la nature. Si un arbre te gĂȘne, tu le coupes. Si une fleur te plait, tu la prends ! Et tu t’offusques que des ĂȘtres pour se sentir vivre prennent des armes et tuent !? Tu ne les regardes pas les journaux oĂč ils font la une pendant des mois quand des choses qui mĂ©riteraient qu’on s’y arrĂȘte, des choses qui font du bien ne sont jamais montrĂ©es ?! Tu voudrais qu’on arrĂȘte de financer ces banques qui se moquent de toi ? As-tu ton compte au CrĂ©dit CoopĂ©ratif ou Ă  la Nef ? Tu veux une meilleure Ă©ducation ? Tu n’as pas le temps de t’occuper de tes enfants, tu les laisses devant des programmes tĂ©lĂ© ! Tu t’offusques de la montĂ©e du FN ? Tu continues Ă  ne pas chercher des ouvrages venant d’autres cultures pour tes enfants, tu les laisses mijoter dans une littĂ©rature Ă  majoritĂ© europĂ©enne, tu ne te demandes pas comment on peut imaginer que les Ă©gyptiens avaient presque un type europĂ©en
 et tous les tableaux dans tes musĂ©es
 tu es pĂ©tri de racisme par ta culture et tu as honte, alors au lieu d’en parler ouvertement, de guĂ©rir, tu laisses cela gangrĂ©ner et du coup, tu n’as plus l’Ɠil pour voir, ni l’oreille pour entendre oĂč ça dĂ©rape ! Et tu prĂ©fĂšres mettre un badge condescendant touche pas Ă  mon pote ». Moi, celui qui m’appelle eh mon pote » dans la rue, j’ai envie de lui dire
 Pardon ? C’est Ă  moi que vous parlez !? Maintenant, tu nous dis. Mais c’est ton devoir ! Ton devoir de citoyen ! » Mon devoir de citoyen, c’est de dire Ă  un enfant qui crache dans la rue que c’est dommage. Que des gens vont devoir nettoyer derriĂšre lui. C’est de donner ma main Ă  une vieille dame qui traverse, c’est d’ĂȘtre courtois et agrĂ©able, d’aider, de prendre soin. De l’espace commun et des autres. Le fais-tu ?Tu sais, les politiques ne font plus de politique. Depuis longtemps. Ils n’ont plus besoin. Maintenant il y a le Front National et c’est gĂ©nial. Tu fais de la merde et hop tu dis non, mais lĂ , les gens, il faut pas faire n’importe quoi parce que sinon
 » Sinon quoi ?! Ca sera pire ? Les rĂ©gions ? Il faudrait peut-ĂȘtre un peu potasser le dossier. Un minimum. C’est quoi qui vous fait peur ? C’est pour les transports ? Ah ! Oui, je vois, vous craignez qu’ils mettent les noirs dans un wagon et les blancs dans un autre
 Pardon ?! Mais ce n’est pas dĂ©jĂ  un peu ainsi ? Vous y ĂȘtes dans les citĂ©s coupe gorge ?
 Ah non ! C’est l’école
 Ils vont couper les budgets culture de l’école ? Pas la peine, c’est dĂ©jĂ  fait ! Ils vont instrumentaliser les programmes ? Nos programmes sont instrumentalisĂ©s depuis toujours ! Et d’ailleurs c’est parce que certains ne le comprennent pas que ça rame tant. L’école est un instrument de propagande ! Et oui ! Comme la tĂ©lĂ© ? Si ! De quoi avez-vous peur ? Vous ne le savez mĂȘme pas ! Parce qu’on ne vous l’explique mĂȘme pas. Le FN, ça fait peur !!! C’est tout. Non, lĂ  oĂč je vous comprends, c’est que si le FN passe, il va falloir se sortir les doigts, crĂ©er des assos, participer Ă  des choses qui vous semblent importantes, etc
 ou alors assumer que vous vous laissez bercer quel qu’en soit le prix et qu’aprĂšs tout, c’est pire, mais pas si pire, parce que c’est la France. Et c’est le pays des Droits de l’Homme oĂč des gens qui veulent lutter pour le climat se retrouvent en garde Ă  vue ! Ah ! Mais le FN est dĂ©jĂ  passĂ© ? On m’avait pas dit
 Ils font quoi sur LCI ? Ou alors j’ai du m’endormir
 » Non, non, rassure toi, c’est la gauche qui fait ca ! Ah
 Ouf. J’ai eu peur qu’il faille quitter le canapĂ© pour aller manifester
 » Franchement, si vous regardiez un peu autour de lĂ  oĂč ils veulent que vous regardiez, vous verriez qu’il y a plein de jolies choses qui pointent le bout de leur nez et qui n’attendent que vous. Et qu’il ne sert Ă  rien d’avoir peur. Quand on tente de vous faire peur, c’est le signe qu’il faut s’arrĂȘter et reflechir. Parce que c’est exactement ce qu’ils ne veulent pas que vous fassiez. Alors FN, PS, LR ou je ne sais quoi, en attendant que la politique redevienne de la politique c’est en notre pouvoir. Si personne ne vote, si personne ne joue plus avec eux, ils arrĂȘteront. Si le FN passe
 Imaginez la gueule de Sarco et de Hollande
 Hey, les copains, revenez ! » Ils arrĂȘteront avec leur FN et trouveront des trucs pour nous intĂ©resser. De vrais trucs. De vrais projets. Au moins un temps 😉 Et je suis sĂ»r que s’ils Ă©taient obligĂ©s de s’y mettre, ils seraient capables de le faire. Mais ils sont comme vous les politiques. Pourquoi se faire chier, si il suffit de remuer un panneau FN pour que leur confort perdure. Ça dĂ©pend de nous. Encore une fois. En fait, en vrai, tout dĂ©pend de nous et notre voix compte, oui. Elle compte beaucoup ! A chaque seconde, Ă  chaque acte, Ă  chaque parole, Ă  chaque regard, Ă  chaque pensĂ©e mĂȘme. Alors allez plutĂŽt travailler celle lĂ . La seule qui puisse faire que cette totale dĂ©raillade s’ sinon, ne rĂąlez pas ! Comme le disait un des votants que j’ai croisĂ© sur un mur on a les politiques qu’on mĂ©rite. » C’est pour ça que je me suis choisi. Le meilleur politicien pour mon monde, c’est moi et rien ni personne ne pourra me l’enlever. C’est ce genre de force qui ont fait tenir des Mandela quand ils Ă©taient en prison ! Rien, ni personne ne peut ĂȘtre maĂźtre de vous, Ă  l’intĂ©rieur. Et je vous rassure, si le FN passe, on va pas tous se retrouver menotĂ©s, dans des cachots. Ca c’est le PS qui le fait en ce moment
 Vous voulez que les choses changent ? Alors commencez par changer vous-mĂȘme ! Ne votez pas dimanche ! Ne votez pas ! Ne vous inquiĂ©tez pas, je vous aimerai quand mĂȘme si vous allez voter. 😉 lĂ©tablissement pour faire entendre la voix des usagers et veiller au respect de leurs droits. cvs-ehpad@ fonctionnement du Conseil de la Vie sociale Le Conseil de la Sommaire DĂ©finition qu’est-ce que la dysphonie ?Explications quelles sont les causes de la dysphonie ?Evolution quelles sont les consĂ©quences de la dysphonie ?Traitement que faire en cas de dysphonie ?La dysphonie est un trouble de la voix qui peut concerner son intensitĂ©, sa hauteur et son timbre. Elle peut avoir plusieurs explications. La dysphonie peut notamment ĂȘtre d’origine inflammatoire, traumatique, tumorale ou qu’est-ce que la dysphonie ?La dysphonie est un trouble de la voix parlĂ©e qui peut ĂȘtre caractĂ©risĂ© par une modification de l’intensitĂ© de la voix, avec une voix plus faible chez les personnes dysphoniques ;une modification de la hauteur de la voix, avec une voix plus grave chez les femmes ou une voix plus aiguĂ« chez les hommes ;une modification du timbre de la voix, avec une voix Ă©raillĂ©e, voilĂ©e ou les cas, la dysphonie peut prĂ©senter une apparition brutale ou progressive ;une gĂȘne plus ou moins cas particulier de la dysphonie spasmodiqueLa dysphonie spasmodique est un trouble spĂ©cifique de la voix qui apparaĂźt le plus souvent chez des personnes ĂągĂ©es entre 45 et 50 ans. Elle se traduit par des spasmes des cordes vocales. Les causes de la dysphonie spasmodique ne sont pas encore Ă©lucidĂ©es. D’aprĂšs certaines hypothĂšses, il semblerait que ce trouble de la voix soit d’origine psychologique ou neurologique. Aucune lĂ©sion organique n’a Ă©tĂ© identifiĂ©e chez les personnes prĂ©sentant une dysphonie quelles sont les causes de la dysphonie ?La dysphonie est due Ă  une altĂ©ration de la vibration des cordes vocales. Elle survient gĂ©nĂ©ralement lorsque le larynx organe du systĂšme respiratoire situĂ© au niveau de la gorge ou les cordes vocales prĂ©sentent une lĂ©sion, une inflammation ou une gĂȘne. Plusieurs causes de la dysphonie ont Ă©tĂ© identifiĂ©es des inflammations aiguĂ«s ou chroniques ;des tumeurs bĂ©nignes ou malignes ;diffĂ©rents traumatismes, notamment au niveau du larynx ;des troubles neurologiques, dus Ă  l’atteinte de certains nerfs causes d’origine inflammatoireDans de nombreux cas, ce trouble de la voix peut ĂȘtre la consĂ©quence d’une laryngite, une inflammation qui touche le larynx. DiffĂ©rentes formes de laryngites peuvent provoquer une dysphonie la laryngite aiguĂ« de l’adulte, souvent d’origine infectieuse ou traumatique, qui apparaĂźt brusquement et dure de quelques jours Ă  quelques semaines ;la laryngite chronique qui est majoritairement due au tabagisme mais peut Ă©galement survenir en cas d’alcoolisme, d’une irritation par vapeur ou poussiĂšre, d’un surmenage vocal, d’infections pharyngĂ©es ou d’infections rhino-sinusiennes rĂ©pĂ©tĂ©es ;les laryngites spĂ©cifiques, des inflammations rares du larynx, dont font notamment partie la tuberculose laryngĂ©e, la syphilis laryngĂ©e, la sarcoĂŻdose laryngĂ©e et les mycoses causes d’origine tumoraleDans certains cas, la dysphonie peut ĂȘtre la consĂ©quence de tumeurs au niveau de la gorge des tumeurs bĂ©nignes, tels que les tumeurs glottiques et les tumeurs sus-glottiques ;des tumeurs malignes, ou cancers de la gorge, comme le cancer des cordes vocales, le cancer sus-glottique, ou encore le cancer de la causes d’origine traumatiqueLa dysphonie peut ĂȘtre provoquĂ©e par diffĂ©rents traumatismes au niveau du larynx tels que un traumatisme externe du larynx, notamment lors d’une contusion, d’une fracture ou d’une luxation ;un traumatisme interne du larynx, notamment lors d’un granulome post-intubation tumeur de nature inflammatoire se manifestant Ă  la suite d’une intubation, ou d’une arthrite crico-arytĂ©noĂŻdienne inflammation des articulations crico-arytĂ©noĂŻdienne prĂ©sentes au niveau du larynx ;les sĂ©quelles d’une chirurgie partielle du causes d’origine neurologiquePlusieurs troubles neurologiques peuvent expliquer l’apparition d’une dysphonie. Parmi ces troubles figurent notamment la paralysie laryngĂ©e due Ă  une atteinte du nerf moteur, notamment en cas de lĂ©sions post-opĂ©ratoires ou d’une tumeur au niveau de la thyroĂŻde, de la trachĂ©e ou encore de l’oesophage ;les neuropathies diabĂ©tiques, qui sont des complications du diabĂšte ;le syndrome de Guillain-BarrĂ©, une maladie auto-immune qui touche le systĂšme nerveux pĂ©riphĂ©rique ;la sclĂ©rose en plaques, une maladie auto-immune qui affecte le systĂšme nerveux central ;les accidents vasculaires du tronc quelles sont les consĂ©quences de la dysphonie ?Les consĂ©quences de la dysphonie sont variables selon les cas. D’une maniĂšre gĂ©nĂ©rale, une personne dysphonique ressent une gĂȘne dans les Ă©changes verbaux avec des difficultĂ©s Ă  parler ou Ă  se faire de la dysphonie dĂ©pend de son origine. Ce trouble de la voix peut se maintenir mais peut parfois Ă©voluer dans les cas les plus que faire en cas de dysphonie ?En cas de dysphonie, il est conseillĂ©, dans la mesure du possible, de mettre les cordes vocales au repos. Une consultation mĂ©dicale est particuliĂšrement recommandĂ©e lorsque le trouble de la voix persiste pendant plus d’une prise en charge mĂ©dicale consiste Ă  traiter la cause de la dysphonie et limiter le risque d’évolution. Selon le diagnostic, plusieurs traitements peuvent ĂȘtre envisagĂ©es. Dans certains cas, une phase de repos suffit Ă  stopper la dysphonie. Dans les formes les plus graves, une opĂ©ration chirurgicale peut ĂȘtre envisagĂ©e par un article vous-a-t-il Ă©tĂ© utile ?À lire aussi . 177 304 462 185 389 18 230 353

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